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Faces Cach​é​es

by Têtes de Chien

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    CD logé dans un joli emballage cartonné, avec un livret contenant les paroles des chansons, ainsi que les magnifiques dessins & illustrations de Vincent Vanoli et Marina Le Ray.

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1.
Aux marches du palais, Aux marches du palais, Y’a une tant belle fille, Y’a une tant belle fille. Elle a tant d’amoureux, Qu’elle ne sait lequel prendre. C’est un p’tit cordonnier, qu’a eu sa préférence. Lui a fait des souliers, en maroquin de Nantes. Et c’est en lui chaussant, Lundi mardi tralala, Qu’il lui fît sa demande, Lundi mardi danse. La belle si vous vouliez, Nous coucherions ensemble. Dans un grand lit carré, Couvert de toile blanche. Aux quatre coins du lit, Quatre pommes d’orange. Dans le mitan du lit, La rivière est courante. Tous les chevaux du roi, Viennent y boire en bande. Le noir s’y est noyé, Le plus beau de la bande. Si le roi le savait, Il nous ferait tous pendre. Aux marches du palais, Y’a une tant belle fille.
2.
Nous n’irons plus au bois, les lauriers sont coupés. La belle que voilà, la laiss’rons nous danser ? Et les lauriers du bois, les laiss’rons nous faner ? Non, chacune à son tour ira les ramasser. Entrez dans la danse, voyez comme on danse. Ôo, ôo, attrapez qui vous voudrez. Si la cigale y dort, ne faut pas la blesser, Le chant du rossignol la viendra réveiller. Et la fauvette aussi avec son doux gosier. Et Jeanne la bergère avec son blanc panier. Allant cueillir la fraise et la fleur d’églantier. Cigale, ma cigale, allons il faut chanter. Cigale, ma cigale, allons il faut chanter, Car les lauriers du bois sont déjà repoussés.
3.
Aux jardins de mon père les lilas sont fleuris. Tous les oiseaux du monde viennent y faire leurs nids. Auprès de ma blonde qu’il fait bon dormir. La caille, la tourterelle et la jolie perdrix, Et ma jolie colombe qui chante jour et nuit. Dites-nous donc la belle, où est votre mari ? Il est dans la Hollande, les hollandais l’ont pris. Que donneriez vous belle pour revoir votre ami ? Je donnerais Versailles, Paris et Saint Denis. Les tours de Notre Dame et l’clocher d’mon pays, Et ma jolie colombe qui chante et jour et nuit.
4.
Il était un p’tit homme, Qui s’appelait Guilleri, carabi. Il s’en fut à la chasse, A la chasse aux perdrix, carabi. Titi carabi, toto carabo, compère Guilleri, Te laisseras-tu mouri’ ? Il monta sur un arbre pour voir ses chiens couri’, La branche vint à rompre, et Guilleri tombit. Il se cassa la jambe, et le bras se démit. De l’hôpital, les dames sont arrivées au bruit. L’une apporte un emplâtre l’autre de la charpie. On lui banda la jambe et le bras lui remit. Pour remercier ces dames, Guilleri les embrassit.
5.
Trois jeunes tambours s’en revenant de guerre, Ran petipatapan, s’en revenant de guerre. Le plus jeune a dans sa bouche une rose. La fille du roi était à sa fenêtre : - Joli tambour, veux-tu m’donner ta rose ? - J’te la donn’rai si tu veux être ma mie. - Joli tambour, parle-z-en à mon père. - Sire le roi, veux-tu m’donner ta fille ? - Joli tambour, tu n’es pas assez riche. - Je suis plus riche que toute ta famille. J’ai trois moulins dessur la mer gentille. L’un qui moud l’or, et l’autre la farine. L’autre moudra les amours de ma mie. L’autre moudra les amours de ma mie, Ran, ranpataplan, Les amours de ma mie.
6.
Cadet Rousselle a trois maisons, Qui n’ont ni poutres, ni chevrons. C’est pour loger les hirondelles, Que direz-vous d’Cadet Rousselle ? Ah ! Ah ! Ah ! Oui, vraiment, Cadet Rousselle est bon enfant ! Cadet Rousselle a trois habits, Deux jaunes, l’autre en papier gris. Il met celui-ci quand il gèle, Ou quand il pleut, ou quand il grêle... Cadet Rousselle a trois beaux yeux, L’un r’garde à Caen, l’autre à Bayeux. Comme il n’a pas la vu’ bien nette, Le troisième, c’est sa lorgnette... Cadet Rousselle a une épée, Très longue, mais toute rouillée. On dit qu’ell’est encore pucelle C’est pour faire peur aux hirondelles... Cadet Rousselle a trois souliers, Il en met deux dans ses deux pieds. Le troisième n’a pas de semelle, Il s’en sert pour chausser sa belle... Cadet Rousselle a trois cheveux, Deux pour la face, un pour la queue, Et quand il va voir sa maîtresse, Il les met tous les trois en tresse... Cadet Rousselle a marié Ses trois filles dans trois quartiers. Les deux premières ne sont pas belles, La troisième n’a pas de cervelle... Cadet Rousselle ne mourra pas, Car, avant de sauter le pas, On dit qu’il apprend l’orthographe Pour fair’ lui-mêm’ son épitaphe...
7.
Dans les prisons de Nantes, Lan diguedigue dan, diguedi, Landi, lan diguediguedan Y’avait un prisonnier. Personne ne le vint voère Que la fille du geôlier. Elle lui apporte à boire, A boire et à manger. Et des chemises blanches, Quand il veut en changer. Un jour il lui demande : - Et que dit-on de moé ? - On dit de vous en ville Que demain vous mourrez. - Et s’il faut qu’on me pende, Déliez-moi les pieds. La fille était jeunette, Les pieds lui a délié. Le prisonnier alerte, Dans la Loire s’est jeté. Dès qu’il fut sur les rives Il se mit à chanter : - Je chante pour les filles, Surtout celle du geôlier. Si je reviens à Nantes, Oui je l’épouserai.
8.
Il était un petit navire, Dessur la mer, il naviguait. Le vent le pousse, il tourne, il vire, Pendant sept ans sans aborder. Au bout de la septième année, Le pain, le vin, tout a manqué ; Fallut tirer la courte paille, Pour voir celui qui serait mangé. Le capitaine a fait les pailles, Et la plus courte lui est restée. Comment manger not’ capitaine, C’est lui qui nous a protégé. On cherche alors à quelle sauce Le capitaine-taine-taine serait mangé, ohé ohé ! L’un voulait qu’on le mit à frire. L’autre voulait-lait-lait le fricasser, Ohé ohé ! Ohé ohé, matelot, matelot navigue sur les flots. Y’a t-il un homme dans l’équipage ? Un homme qui pourrait me sauver ? L’aurait ma fille en mariage, Et le vaisseau de d’sous nos pieds. Le plus jeune de tout l’équipage Monta plus haut qu’il pu monter. Il s’écria : - Prenons courage, Je vois la terre de tout côté. J’y vois le berger dans la plaine, Et son troupeau z-à ses côtés. J’y vois la flèche de l’église, Où nous sommes tous baptisés. J’y ai sauvé mon capitaine, Sans moi il aurait été mangé. J’ai eu sa fille en mariage, Et le vaisseau de d’sous nos pieds.
9.
Sur le pont du Nord, un bal y est donné. Adèle demande à sa mère d’y aller. « Non non ma fille, tu n’iras pas danser. » Monte à sa chambre et se met à pleurer. Son frère arrive dans un bateau doré : « - Ma sœur ma sœur, qu’as-tu donc à pleurer ? - Maman ne veut pas que j’aille au bal danser. - Mets ta robe blanche et ta ceinture dorée. » Sur l’pont du Nord, joli cœur de rose, Il la mena danser, joli cœur de rosier. La première danse, joli cœur de rose, Adèle a bien dansé, joli cœur de rosier. La deuxième danse, joli cœur de rose, Adèle a refusé, joli cœur de rosier. La troisième danse, joli cœur de rose, Le pont s’est écroulé, et la voilà noyée. « - Mon frère mon frère, me laisserez vous noyer ? - Oh non ma sœur, je vais vous retirer. » Ils firent trois tours et les voilà noyés. Les cloches de Nantes se mirent à sonner. La mère demande pour qui elles ont sonné : « - C’est pour Adèle et votre fils aîné . » Voilà le sort des enfants obstinés.
10.
Digue, ding don, don, ce sont les filles des forges, des forges de Paimpont, digue ding dondaine, des forges de Paimpont, dingue ding dondon. Digue, ding don, don, elles s’en vont à confesse au curé du canton, digue ding dondaine, au curé du canton, dingue ding dondon. Digue, ding don, don, qu’avez-vous fait les filles pour demander pardon, digue ding dondaine, pour demander pardon, dingue ding dondon ? Digue, ding don, don, j’avions couru les bals et les jolis garçons, digue ding dondaine, et les jolis garçons, dingue ding dondon. Digue, ding don, don, ma fille pour pé- nitence nous nous embrasserons, digue ding dondaine, nous nous embrasse- rons, dingue ding dondon. Digue, ding don, don, je n’embrasse point les prêtres, mais les jolis garçons, digue ding dondaine, qu’ont du poil au menton, dingue ding dondon.
11.
Au clair de la Lune, mon ami Pierrot, Prête-moi ta lume pour écrire un mot. Ma chandelle est morte, je n’ai plus de feu. Ouvre-moi ta porte pour l’amour de Dieu. Au clair de la Lune, Pierrot répondit, Je n’ai pas de lume, je suis dans mon lit. Va chez la voisine, je crois qu’elle y est. Car dans sa cuisine, on bat le briquet. Au clair de la Lune, l’aimable Lubin Frappe chez sa brune, elle répond soudain : Qui frappe de la sorte ? Il dit à son tour : Ouvre-moi ta porte pour le dieu d’amour. Au clair de la Lune, on n’y voit qu’un peu. On chercha la lume, on chercha du feu. En cherchant d’la sorte, je n’sais c’qu’on trouva, Mais je sais qu’la porte sur eux se ferma.
12.
Pauvre soldat revient de guerre, tout doux. Tout déchiré, tout mal vêtu, Pauvre soldat, d’où reviens-tu, tout doux ? Cocu et coucou, cocu et jaloux et coucou. Il y s’en va chez une hôtesse, tout doux: - Madame, avez-vous du vin blanc ? - Soldat, avez-vous de l’argent, tout doux ? Quand le soldat se mit à table, tout doux, Se mit à rire et à chanter, Madame l’hôtesse s’mit à pleurer, tout doux. - Qu’avez-vous donc, madame l’hôtesse, tout doux. Est-ce pour vot’vin que vous pleurez ? J’ai quelques sous j’vous les donn’rai, tout doux. - N’est pas mon vin que je regrette, tout doux. Mais c’est la mort de mon mari, Monsieur, vous ressemblez à lui, tout doux. - Ah ! dites-moi, dame l’hôtesse, tout doux, Vous aviez de lui trois enfants, En voilà quatre-z-à présent, tout doux. - J’ai tant reçu de tristes lettres, tout doux, Qu’il était mort et enterré, Que je me suis remariée, tout doux. Pauvre soldat vida son verre, tout doux, Sans remercier, tout en pleurant, S’en retourna-t-au régiment, tout doux. Cocu et coucou, cocu et jaloux et coucou.
13.
La Jeannette se lève, Tralala lalala, lalala, lalalala, La Jeannette se lève, Deux heures d’avant jour. Elle prend sa quenouillette, Son joli petit tour. A chaque tour qu’elle file, Fait un soupir d’amour. Sa mère vient lui dire : - Pernette qu’avez vous ? A vous le mal de tête, ou bien le mal d’amour ? -N’ai pas le mal de tête, Mais bien le mal d’amour. - Ne pleure pas Jeannette, Tralala lalalala, lalalala lala, Nous te marierons Avec le fils d’un prince Ou celui d’un baron. - Je ne veux pas d’un prince, Encore moins d’un baron. Je veux mon ami Pierre, Celui qu’est en prison. - Tu n’auras pas ton Pierre, Tralala lalalala, lalalala lala, Tu n’auras pas ton Pierre, Nous le pendouillerons, Nous le pendouillerons. - Si vous pendouillez Pierre, Pendouillez moi-z-avec. Et l’on pendouilla Pierre, Tralala lalalala, lalalala lala, Et l’on pendouilla Pierre, Et la Jeannette avec, Et la Jeannette avec.
14.
Jean petit qui danse Jean petit qui danse De son doigt il danse De son doigt il danse De son doigt doigt doigt Ainsi danse Jean Petit Jean petit qui danse Jean petit qui danse De sa main il danse De sa main il danse De sa main main main De son doigt doigt doigt Ainsi danse Jean Petit Jean petit qui danse Jean petit qui danse De son bras il danse De son bras il danse De son bras bras bras etc... Ainsi danse Jean Petit Jean petit qui danse Jean petit qui danse De son pied il danse De son pied il danse De son pied pied pied etc... Ainsi danse Jean Petit Jean petit qui danse Jean petit qui danse De sa tête il danse De sa tête il danse De sa tête tête tête etc... Ainsi danse Jean Petit
15.
Mon père m’a donné un mari, Mon Dieu, quel homme, quel petit homme !Mon père m’a donné un mari, Mon Dieu, quel homme, qu’il est petit ! D’une feuille on fit son habit. Je l’ai perdu dans mon grand lit. J’pris une chandelle et le cherchis. A la paillasse le feu a pris. Je trouvai mon mari rôti. Sur une assiette je le mis. Le chat l’a pris pour une souris. Au chat au chat, c’est mon mari. Fillette qui prenez un mari, Ne le prenez pas si petit !
16.
Perrine était servante Chez monsieur le curé, Diguedon ma dondaine, Chez monsieur le curé, Diguedon ma dondé. Elle reçoit dans sa chambre, Le soir après souper. Perrine veux-tu qu’j’te bise, J’t’ai bien bisé d’aut’foes. V’l’a m’sieur l’curé qu’arrive, Où vais-je me cacher? Cache-te dans tio grand coffre, Y port’rai-t-à manger. Mais pendant trois semaines, La belle l‘a-t-oublié. Au bout d’cinq-six semaines, Les rats l’aviont bouffé. Y n’restait plus qu’sa tête, Et l’bout d’son flageolet.
17.
C’est la mère Michel qui a perdu son chat. Qui crie par la fenêtre qui est-ce qui lui rendra ? C’est l’compère Lustucru qui lui a répon- du : - Allez, la mère Michel, vot‘chat n’est pas perdu. Sur l’air du tralalala sur l’air du tralalala, Sur l’air du tradéridéra et tralala. C’est la mère Michel qui lui a demandé : Mon chat n’est pas perdu, vous l’avez donc trouvé ? C’est le père Lustucru qui lui a répondu : - Donnez une récompense, il vous sera rendu. Sur l’air du tralalala sur l’air du tralalala Sur l’air du tradéridéra et tralala. C’est la mère Michel qui dit : - C’est décidé, Si vous m’rendez mon chat, vous aurez un baiser. Mais le père Lustucru, qui lui a répondu, Lui dit : - pour un lapin votre chat est vendu. Sur l’air du tralalala sur l’air du tralalala, Sur l’air du tradéridéra et tralala.
18.
Jeanneton prend sa faucille, Larirette larirette, Pour aller couper du jonc. Et quand sa botte fut faite, Elle s’endormit tout au long. Mais par le chemin, il passe Trois chevaliers de renom. Hélas pourquoi s’endormit-elle la petite Jeanneton ? Le premier qui la regarde, Lui sourit d’un air fripon. Hélas pourquoi s’endormit-elle la petite Jeanneton ? Le premier qui la regarde lui sourit d’un air fripon. Le second qu’était moins sage lui caresse le menton. Hélas pourquoi s’endormit-elle la petite Jeanneton ? Le second qu’était moins sage lui caresse le menton. Ce que lui fit le troisième n’est pas mis dans la chanson. Hélas pourquoi s’endormit-elle la petite Jeanneton ? Ce que lui fit le troisième n’est pas mis dans la chanson. Si vous le saviez mesdames vous iriez couper du jonc. Hélas pourquoi s’endormit-elle la petite Jeanneton ? Jeanneton prend sa fauçille, Larirette larirette, Pour aller couper du jonc.
19.
À la pêche des moules, Je n’veux plus y aller, maman, Les garçons de la ville M’ont pris mon panier, maman. Quand une fois ils vous tiennent Les jolis enfants, maman, Ils vous font tant d’caresses Et de compliments, maman. Les garçons de la ville, Avec eux m’ont m’née, maman. Les garçons de la ville M’ont tous embrassée, maman. Les garçons de la ville M’ont emm’née baigner, maman. Les garçons de la ville Mes habits ont cachés, maman. Les garçons de la ville, Alors m’ont quittée, maman. Les garçons sont volages Comme pluie au vent maman. À la pêche des moules, Je n’veux plus y aller, maman.
20.
A la claire fontaine, m’en allant promener, J’ai trouvé l’eau si belle que je m’y suis baigné. Il y a longtemps que je t’aime, jamais je ne t’oublierai. Sous la feuille d’un chêne, je me suis fait sécher. Sur la plus haute branche, un rossignol chantait. Il y a longtemps que je t’aime, jamais je ne t’oublierai. Chante rossignol, chante, toi qui a le coeur gai. Tu as le coeur à rire, moi je l’ai à pleurer . Il y a longtemps que je t’aime, jamais je ne t’oublierai. J’ai perdu mon amie, sans l’avoir mérité, Pour un bouquet de roses que je lui refusai. Il y a longtemps que je t’aime, jamais je ne t’oublierai. Je voudrais que la rose fût encore au rosier, Et que le rosier même fût encore à planter. Il y a longtemps que je t’aime, jamais je ne t’oublierai.

about

"En complémentarité des timbres, exactitude musicienne, inventivité dans les croisements de styles, d'époques. Un travail d'arrangement subtil, résultat de la collaboration du quintette avec Caroline Marçot. La lente ballade d'Aux marches du palais devient une ronde vive, Cadet Rousselle évoque l'Orient, Jean Petit qui danse prend presque une forme électro, Mon père m'a donné un mari se donne des allures swing, les syllabes rythmiques des musiques de l'Inde font alliance avec celles de traditions du Berry, le rap d'aujourd'hui trouve ses racines un lointain passé ... Des effets simples, pensés, qui apportent un plus de merveilleux à cette plongée dans la richesse méconnue de ce répertoire traditionnel".
Le Monde (Sylvain Siclier) 25/11/2018

"...Un travail de fond qui donne naissance à un objet vocal totalement décapant : le dévoilement virtuose des Faces cachées, et même enfouies dans l’inconscient collectif, de nos chansons dites “d’enfance”...."
Politis (Lorraine Soliman) 28/11/2018

credits

released December 4, 2018

Crédits :
Têtes de Chien : Grégory Veux, Didier Verdeille, Henri Costa, Justin Bonnet, Philippe Bellet.
Faces Cachées : Enregistré au Studio Cargo (Montreuil, 93) au cours de l'été 2018.
Annabelle Stefani : voix sur Pauvre Soldat.
Arrangements des chansons : Caroline Marçot & Têtes de Chien
Production : Philippe Bellet
Mixage & mastering : Antoine Demantké
Dessins : Vincent Vanoli
Graphisme : Marina Le Ray
Contact Presse: Claire Lextray claire.lextray@orange.fr
Label: TO&MA
Avec le soutien de la Fondation Orange, de la Drac Bourgogne Franche-Comté, du département de l'Yonne & du Bureau du Classique.

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Têtes de Chien Paris, France

Cinq hommes, cinq voix, cinq parisiens. Les "Têtes de Chien" s'emparent des chants traditionnels de leurs provinces d'origine. Mâchés, mastiqués, réveillés, ces mots sans âge ont dans leur bouche un goût de racine et de bitume. Entre introspection et humour, entre polyphonie traditionnelle et transe urbaine. ... more

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